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SynopsisFermez les yeux. Libérez-vous l'esprit. Rien ne vous prépare à ce qui va suivre.Bienvenue dans l'imaginaire débordant d'une jeune fille dont les rêves sont la seule échappatoire à sa vie cauchemardesque… S'affranchissant des contraintes de temps et d'espace, elle est libre d'aller là où l'entraîne son imagination, jusqu'à brouiller la frontière entre réalité et fantasme…Enfermée contre son gré, Babydoll a toujours envie de se battre pour reconquérir sa liberté. Combative, elle pousse quatre autres jeunes filles – la timorée Sweet Pea, Rocket la grande gueule, Blondie la futée, et la loyale Amber – à s'unir pour échapper à leurs redoutables ravisseurs, Blue et Madame Gorski – avant que le mystérieux High Roller ne vienne s'emparer de Babydoll.Avec Babydoll à leur tête, les filles partent en guerre contre des créatures fantastiques, des samouraïs et des serpents, grâce à un arsenal virtuel et à l'aide d'un Sage. Mais ce n'est qu'à ce prix qu'elles pourront – peut-être – recouvrer la liberté…CritiqueFilm réalisé par Zack Snyder. On peut dire qu'avec ce film, cet homme a un étrange univers dans la tête, mais qui est très plaisant à regarder pour ma part. Ce film reçoit autant de critiques négatives que positives : soit on aime, soit on n'aime pas du tout, c'est ce que j'ai remarqué en faisant découvrir ce film à plusieurs personnes. Personnellement, je me situe dans la catégorie de ceux qui ont aimé.En effet, l'univers m'a plu dans ce film. Rien que la mise en scène du début pour expliquer pourquoi notre Babydoll se retrouve dans un hôpital psychiatrique est très bien réalisée, sur un fond musical sublime (Sweet Dreams de Eurythmics remixé et qui reste superbe). Les effets visuels sont également très bien faits, on sent bien évidement que ces jolies filles ont été retouchées pour en faire quasiment des déesses de beauté.Côté histoire, elle est très bien pensée. Pour moi, il s'agit quasiment d'un jeu vidéo, où au début l'héroïne se voit recevoir des quêtes pour retrouver des artefacts et ainsi sortir de sa prison. Tout ceci dans des mondes plus fantastiques les uns que les autres. Bien sûr, ces mondes ne sont que des rêves et sont également vécus dans un rêve. Avec cette phrase on pourrait dire que c'était déjà une idée d'inception.Du coup, cette façon de voir le film dans les rêves de cette jeune fille, qui préfère les vivre plutôt que de faire face à la réalité, est une excellente idée puisque cela renvoie parfois à des expériences déjà vécues par le spectateur. Néanmoins, tout n'est pas merveilleux dans ses rêves, elle perd des amies et la fatalité de sa situation dans la réalité la rattrape vite.Donc j'ai vraiment adoré l'univers, les effets spéciaux et l'idée de remplacer la réalité par ses rêves. Mais ce film n'est pas parfait, car il faut bien visionner deux fois le film pour en comprendre le sens et les petits détails qui peuvent nous échapper lors du premier visionnage. Ce qui est dommage car je pense que pour certaines personnes qui n'ont pas aimé ce film, ce serait peut-être parce qu'ils n'ont pas compris le sens de celui-ci. Ensuite, les actrices sont bien mignonnes mais le jeu est plutôt moyen, enfin on ne voit pas énormément d'émotion dans leurs yeux (peut-être trop de retouchage a-t-il dénaturé ces petites poupées ?).Notes♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥
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Premières impressions...La vidéo du début qui est également celle du trailer est simplement magnifique. Et bien sûr quand le jeu se lance, on est un peu déçu que la qualité ne soi pas identique, peut-être aurons nous ceci dans la prochaine décennie. BIen que j'ai déjà très bien avancé dans le jeu, je vais m'attarder seulement sur les premières impressions que j'ai ressenties lorsque j'ai commencé le jeu.Dès le début, j'ai déjà beaucoup aimé le fait qu'on vivait très bien les sensations de Lara et également la douleur qu'elle pouvait ressentir à certaines blessures. Néanmoins, une petite remarque est à faire: au début elle s'inflige une assez grave blessure qui normalement dans la réalité n'est pas soignée dans les heures qui suivent, on y laisse notre âme. Mais pour Lara il ne s'agit que d'une égratinure, le jeu nous fait ressentir cette blessure pendant pas plus de 5 min et ensuite Lara retrouve une très grande forme, ce qui est bien dommage et manque de réalisme... Ensuite, il est très jouissif de tirer à l'arc et l'utilisation des touches L1 et R1 est très utile (bien que ce système est présent dans tous les jeux de ce style de nos jours mais saluons tout de même l'effort de ne pas inventer un nouveau système qui aurait sûrement tout foutu en l'air).Les graphismes sont bien sûr très beaux, les détails sont assez précis et la texture est assez fidèle à la réalité bien que le problème de l'eau réside toujours dans les jeux vidéos. Par contre une chose qui est bien dommage ce sont les animations qui comportent parfois quelques bugs (Lara qui passe à travers des objets qui tombent avec elle ou alors les mouvements d'action qui manquent de réalisme par moment). Voilà ce sera tout pour le moment...
Jeu fini à ...95%
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HistoireTout d'abord, commençons par l'histoire. Le titre "Sword Art Online" correspond à un jeu en ligne du type MMORPG (à ceux qui aiment ce genre de jeu, n'essayez pas de le chercher dans la réalité, il n'existe pas). Le jeu fonctionne grâce à un casque nommé Nerge Gear qui permet de plonger entièrement le joueur dans l'univers du jeu. Le joueur en question n'a qu'à mettre le casque, s'allonger dans son lit et lancer le jeu. Il se retrouve alors dans un personnage qui est contrôlé par son cerveau. Ainsi, le corps du personnage est également le corps du joueur. C'est un peu compliqué d'expliquer tout ça mais on comprend très vite ce système dès le premier épisode. Le personnage principal Kirito est accro à ce genre de jeu et fait partie des 10 000 privilégiés ayant réussi à se procurer la beta-test. Ainsi, lors du vrai lancement du jeu, il détient un léger avantage par rapport aux autres. Malheureusement, lors du premier jour du lancement du jeu, beaucoup de joueurs remarquent un bug dans leur profil, le bouton servant à la déconnexion a disparu et il est alors impossible de sortir du jeu. C'est alors qu'intervient le Maître du Jeu, expliquant que désormais la seule façon de sortir du jeu est de finir les 99 niveaux de la tour, centre de tout le jeu. Il ajoute également que toute personne voyant ses points de vie tomber à zéro, se voit également mourir dans la réalité. Ainsi commence une course effreinée pour finir le jeu le plus vite et sortir de cet enfer tout en faisant attention à ses points de vie.CritiqueA venir... votre commentaire
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